mardi 21 octobre 2008

Tu vois


(c) Ogata Korine


Tu vois, c'est ainsi que je me déteste.
Tu vois, mi churri paciente, tout ce que tu vas devoir endurer.
Tu vois, à peine le combiné reposé, je me suis mise à pleurer.
Tu vois, c'est ainsi.
Et c'est encore si peu. Si trop. Sibérique et sibyllin. Mais si vivant.
Attends-moi.

Alma

1 commentaire:

Molécules d'amertume a dit…

Je vois, car mes larmes sont douces.

Max